jeudi, décembre 18, 2008
Pride and Prejudice
Du caractère, le style, l'époque, du bin-trop-romantique-maudite-marde.
J'veux mon Mr. Darcy :)
mardi, novembre 11, 2008
Le justicier du métro de Monrial
Real. Big. Deal.
mardi, novembre 04, 2008
Prière pour les temps difficiles
Et attendez de voir le stage.
J'suis mieux d'être mindée.
30 garçons de 12 ans faisant partie de la même équipe de football. Dans la même classe. Et un groupe de doubleurs.
Amen !
dimanche, octobre 26, 2008
mercredi, octobre 22, 2008
E.T. téléphone maison
...
Y'a quelqu'un ? Je suis perdue !
On pourrait m'indiquer le chemin, s'il-vous-plait ? Je cherche un blog un peu plus vivant. Un blog animé. Un blog motivé.
...
Ah oui ? C'est vraiment pas par ici ?
Dommage, j'aurais pourtant cru...
dimanche, juin 29, 2008
Vapeurs
Incongruité du regard.
Ce qui m’avait frappé au premier abord, c’était la profondeur de ce regard incongru. Je m’y perdais, comme enlacée par les bras envoûtants d’une quelconque force me dépassant ; heureuse, étrangement, sans que je ne sache pourquoi. Comme si le sol sous mes pieds n’existait pas, comme si le ciel, lui, existait trop. Une phrase de plus, une phrase de moins. Incapacité de réfléchir ? Encore un instant et je ne revenais pas.
Dans la nuit encore j’écorche
Le tronc de ma naissance
Toujours la nuit,
Comme la mort qui pèse
Elle se porte garante du flot.
Plus elle avance, moins je recule
Sous la bruine d’un sol trop dur
Les épaules pleines d’étoiles
Encore la nuit
Légère
Enfin...
Des mots pour une image
Des images pour si peu de choses
Si peu de choses, mais tout, bien sûr
Car l’essentiel réside, là
Assis sur le bord du ciel
Les yeux baignés dans la poudre
S’illuminent trop grands
Car si la beauté avait un nom
On l’aurait nommé
On l’aurait nommé comme cela
mercredi, juin 25, 2008
lundi, avril 07, 2008
Infinitif présent
Bon sang.
Un goût de changer d'air. Comme une envie profonde de bouleversements.
Trouver du temps pour le vrai.
Aimer sans crainte et sans amertume.
Reconnaître la beauté la plus subtile juste parce qu'elle est.
Laisser le soleil nous caresser la peau, sourire aux lèvres.
Attendre l'été avec impatience pour tout ce qu'il incarne.
Comprendre un peu plus et se poser moins de questions.
Plonger dans le paradoxe.
Coucher avec la simplicité.
Habiter chaque seconde qui passe.
Taire la peur.
Rire de tout.
Exister.
mardi, février 26, 2008
Et si je l'avouais ?
Quand ça donne envie de rire jusqu'à l'infini.
Je m'ennuie des «je t'aime».
Je m'ennuie de l'amour.
lundi, février 18, 2008
Amertume
vendredi, janvier 25, 2008
Évidemment
Il me regarde par-dessus ses lunettes sérieuses, passe la main sur son sarrau blanc. Son sourcil se relève un peu, puis il baisse les yeux sur les notes qu'il a gribouillées dans son calepin.
Silence.
Moi, je suis assise sur la chaise, troublée, un peu. Les mains entre les genoux faute d'une meilleure idée pour parer à un quelconque et habituel tic nerveux.
«Votre cas est bien particulier. Rarissisme par les temps qui courent, remarquablement désuet. Et bien que cela m'étonne, il y a évidence; je crois pouvoir poser un diagnostic.»
Bien. Échange de regards entendus.
«Vous souffrez de bovarysme, madame.»