Boy don’t try to front, baby, I know just what you are.
Un peu comme les autres, peut-être plus. Sûrement pas ce que tu parais être. Tu donnes l’impression que. Tu dégages ce. Tu laisses croire, laisses attendre, laisses sous-entendre. Il n’y a pas de mots qui arrivent en effet à décrire ce phénomène que tu es et duquel je semble ne jamais me rendre compte.
Cette envie folle de trouver au détour cette Histoire me fait pourtant toujours loucher vers la conviction que peut-être…
C’est idiot. Idiot de se laisser prendre au jeu, de se faire berner, de se faire balayer du revers de la main par lâcheté, désintérêt, désinvolture ou négligence. Idiot de penser que c’est possible. Sans doute. Mais ce l’est encore plus de (se) répéter chaque fois la même ritournelle.
Ne pas être à la hauteur. Vouloir trop sans pourtant le laisser volontairement paraître et dégager cette aura effrayante du désir de l’engagement. Ou peut-être est-ce encore cette hésitation à se laisser entièrement aller sous les effluves pourtant bien présentes de la passion ?
Foutaises. Pourquoi ne pas simplement aimer ? Toucher. Sentir. Etre dans le moment comme un arbre dans la tempête : emporté mais fort, balayé de forces dépassant l'entendement mais en symbiose avec elles.
Impuissant, mais consentant.
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3 commentaires:
SO-LI-DE !
Merci !! :)
Laisse moi te dire aussi que ce texte a ce quelque chose qui nous donne envie de se l'approprier, de se dire qu'on peut, nous aussi, créer autant d'émoi....bref, ce quelque chose qui touche le lecteur. Ainsi tu l'auras, ton lectorat!! -xx-
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