J'ai l'impression d'être devenue une attardée de l'écriture.
Cela fait deux jours que j'écoute Le piano ivre de Catherine Major en boucle, et que je lis sans m'arrêterLe journal d'Henriette Dessaules. Je suis fascinée de voir comment deux femmes aussi éloignées l'une de l'autre arrivent à me toucher au même moment, et comment elles s'entremêlent dans ces différences en mon esprit en mal de rêves, comme flambeaux d'époques autant qu'évocations de statures et d'états.
Mon coeur est devenu réaliste.
J'aime beaucoup, beaucoup, beaucoup, le mois d'octobre. L'automne a du style et les feuilles tombent comme un baume sur mon humeur.
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1 commentaire:
Je connais Catherine Major de nom, simplement.. et tu me donnes soudain envie d'en écouter, pour cette fin octobre, son piano, en boucle.
Merci d'avoir poussé la découverte.
Du coup, j'ai envie de me laisser tenter par le Journal d'Henriette Dessaules.
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