vendredi, novembre 27, 2009

Oups.

Je suis naïve et sotte.
Je suis enivrée.

C'est quelque chose dans sa voix.
Ou serait-ce le regard, le sourire, les gestes, la démarche, l'odeur ?

Non. Clairement la voix.

Je suis enivrée.
Je suis naïve et sotte.

Il m'a eue. Complètement flouée. Complètement désireuse, complètement enivrée.

Fuck.

mercredi, novembre 18, 2009

Aujourd'hui était une journée étrange.
C'était une de ces journées où l'on se sent aussi seul qu'entouré, au milieu de ces gens qui, à défaut d'être vraiment là, envahissent nos vies pour mille et unes raisons.
Je pose sur eux un regard qui juge ;
Je pose sur moi un regard qui juge ;

Tant de choses m'échappent qui, pourtant, ne valent pas la peine d'être sues.

Dans un dérisoire élan de réflexion me gagne encore cette furtive impression que l'être humain existe au fond pour si peu de choses, sinon ce qu'il juge bon d'être important à ses yeux.
Mais c'est alors là que se pose la question de la connaissances de ces choses ; et si alors on les oubliait ?

Exister pour soi, sans doute. Mais exister pour ce que les autres sont, pour ce qu'ils nous donnent, pour ce qu'ils voient, pour ce qu'ils croient, pour ce qu'ils pensent, vraiment ?

Et devenir lourd de ces pensées qui, chaque fois, deviennent un peu plus obsédantes.

mardi, novembre 10, 2009

Admettons que pendant quelque mois il ne se passe rien. Admettons que pendant quelques mois, les hommes me fuient, sans raison apparente et que, bien qu'ils soient présents dans ma vie, refusent de s'y inscrire.

Admettons que la donne se renverse, et qu'alors tout ceux qui jadis s'étaient défilés sous de multiples prétextes, ressurgissent de différentes sphères de mon passé de façon tout à fait inattendue.

Admettons que je ne puisse pas vraiment gérer ce surplus d'événements et d'informations sans ne serait-ce qu'une dose d'incompréhension.

Je fais quoi ?

L'heure est aux choses sérieuses pour tous les hommes qui ne savaient pas ce qu'ils voulaient il y a deux ans ?

Va falloir m'éclairer.

J'comprends rien, pis en plus, courir trop de lapins à la fois, ça donne jamais rien de bon.

Câline.

vendredi, novembre 06, 2009

Un désir et un seul, en soi, fort simple :

Mettre le grappin sur un de ces beaux hommes grands et musclés qui se multiplient devant mes yeux.

J'en deviens complétement gaga.

Et rien à voir avec Lady G.

Juste avec un peu trop d'hormones à gérer.

Ouf.